Traducción de SAINTES PRIÈRES ET DÉVOTIONS
1. - Extractos de los mensajes de Nuestro Señor a Berthe Petit.
El Corazón de mi Madre tiene derecho al título de Doloroso, y lo quiero puesto antes del de Inmaculado, porque Ella misma lo ha adquirido. La Iglesia ha reconocido en mi Madre lo que Yo mismo hice: su Concepción Inmaculada. Lo hecho ahora, y quiero que sea comprendido y reconocido el derecho que tiene mi Madre por título de justicia, título que le ha valido su identificación en todos mis dolores, sus sufrimientos, sus sacrificios, su inmolación en el Calvario, aceptados en una plena correspondencia a Mi gracia y apoyado para la salvación de la humanidad.
Es en esta corredención que mi Madre fue sobre todo grande, y esto porque Yo demando que sea aprobada y propagada en toda la Iglesia la invocación tal como la he dictado, al igual que aquella que se dirige a mi Corazón, y que sea recitada por cada uno de mis sacerdotes después del sacrifcio de la Misa. Ella ya ha obtenido las gracias; ella obtendrá todavía más; elle será répandue, en atención que, por la Consagración al Corazón Doloroso e Inmaculado de mi Madre, la Iglesia sea relevée y el mundo renovado.
Ce que je veux découle de ce que Je fis au Calvaire. Al darle a mi Madre por hijo a Juan, ¿no le he confiado Yo la Maternidad dolorosa del mundo entero?
Las peores calamidades que he predicho, se han desencadenado, así está el tiempo y Yo quiero:
Que los pueblos se vuelvan hacia el Corazón Doloroso de mi Madre;
Que un mismo grito salga de todas las almas: "Corazón Doloroso e Inmaculado de María, rogad por nosotros."
Que esta oración, indicada por mi amor como un supremo recurso, sea aprobada e indulgenciada, no solo parcialmente y para una pequeña parte de mi tropa, sino para todo el universo, a fin que ella se propague como un soplo reparador y purificador que apaisera mon courroux.
Cette dévotion au Coeur Douloureux et Immaculé de ma Mère reanimera la foi et l'espérance dans les Coeurs brisés et les familles détruites; elle aidera à réparer les ruines, elle adoucira les douleurs, elle sera une nouvelle force pour mon Eglise en portant les âmes, non seulement à la confiance en mon Coeur, mais encore à l'abandon au Coeur Douloureux de ma Mère.
C'est vers une tourmente affreuse que va l'humanité; elle divisera de plus en plus les peuples, elle réduira à néant les combinaisons humaines, elle montrera que rien ne subsiste sans Moi et que Je reste le seul Maître des destinées des peuples.
C'est par le Coeur Douloureux et Immaculé de ma Mère que je veux triompher, parce qu'après avoir coopéré à la rédemption des âmes, ce coeur a droit à une même coopération dans les manifestations de ma justice et de mon amour.
Grande est ma Mère en tout, mais Elle l'est surtout dans son Coeur meutri, transpercé de la blessure du mien.
C'est pourquoi, voulant pour ce Coeur un triomphe éclatant, J'ai attendu l'heure d'une universelle détresse, trouvant écho dans le Coeur Douloureux de ma Mère, universel comme mon Coeur.
Adopter cette dévotion et la répandre, c'est accomplir ma volonté et répondre à l'attente de mon Coeur. Car, par la prière et la consécration faite à ce Coeur des grâces de lumière seront obtenues. Elles amèneront graduellement les âmes à la pleine connaissance de nos coeurs unis qui ont été blessés d'une même blessure, source inépuisable de tout bien pour l'humanité et dont la gloire fait et fera le bonheur des élus dans l'Eternité.
Le salut de ta patrie, la paix intérieure, le relèvement moral du peuple, la confiance en mon Eglise renaîtront par la dévotion active et la consécration, que Je veux, pour que soit aimé et glorifié le Coeur Douloureux et Immaculé de ma Mère uni en tout à mon Coeur. Le salut sera ainsi l'Oeuvre de nos deux Coeurs, le triomphe de leur amour envers le peuple, que cette consécration rendra confiant en ma promesse.
Fais aimer le Coeur de ma Mère transpercé des douleurs qui déchirèrent le mien.
Il faut penser au Coeur de ma Mère comme tu penses au mien, vivre dans ce coeur comme tu veux vivre dans le mien, te donner à ce Coeur comme tu te donnes au mien. Il faut répandre l'amour de ce Coeur tout unifié au mien.
Je t'ai dit les désirs de mon Coeur sur la dévotion à Celui de ma Mère. Aime-le, fais-le aimer. Cet amour sera pour toi et pour le monde une source de grâces et il attirera de grandes bénédictions. Livre-toi à mon amour.
Ce sont les coeurs qui doivent être changés; cela ne se fera que par la dévotion, connue, développée, prêchée et conseillée partout. C'est le dernier secours que Dieu donne avant la fin des temps: le recours à Sa Mère, sous le titre qu'Il veut pour Elle, universellement.
L'envahisseur reste à Ma Merci pour le châtiment qu'il mérite. Justice sera faite en tout. Le châtiment gronde; les chefs le sentent venir; ils s'en épouvantent et se rendent compte qu'ils ne peuvent plus rien conjurer. C'est alors qu'on verrra Mon Jugement et la puissance de Ma volonté. L'Oeuvre se fera. La Belgique redeviendra prospère. (4 nov. 1941).
Une tourmente affreuse se prépare. On va voir se déclencher toutes ces forces préparées avec rage. C'est le moment ou jamais de vous livrer tous au Coeur Douloureux et Immaculé de Ma Mère. C'est par l'acceptation du Calvaire que Ma Mère a participé à toutes Mes douleurs. La dévotion à Son Coeur uni au Mien donnera la paix, la vraie Paix, tant demandée et encore si peu méritée.
A l'heure du triomphe il ne sera visible que Moi seul, J'ai inspiré aux instruments que dans ma liberté Je me suis choisis, une dévotion qui doit être semblable à celle dont est honorée mon Coeur.
C'est en Fils que Je l'ai conçue pour ma Mère. C'est en Dieu que Je la veux.
2. - Messages de la Vierge Marie
Les Evénements approchent telle une ombre grandissante qui s'étend sans que l'on en tienne compte, alors qu'elle recèle de terribles étincelles qui vont replonger les nations dans le feu et le sang. Oh! l'affreuse perspective! Mon coeur de Mère se briserait si Je ne voyais à quel point la Justice Divine est imposante pour le salut des âmes et la purification des peuples.
Vois la blessure de mon Coeur semblable à celle de mon Fils et le torrent de grâces prêt à en jaillir.
Ne te laisse donc rebuter par aucune peine, aucune déception, aucune souffrance.
Tu as la compréhension des douleurs qu'endura mon Coeur, des souffrances de tout mon être, pour le salut du monde.
"Je me suis nommée l'Immaculée Conception. A toi Je me nomme la Mère au Coeur Douloureux. Ce titre que veut mon Fils m'est cher entre tous, et c'est par lui qu'il sera accordé, répandu partout des grâces de miséricorde et de salut.
C'est d'une volonté inébranlable que mon Fils veut voir les âmes recourir à mon Coeur Douloureux. J'attends ce mouvement des âmes, le coeur débordant de tendresse, ne demandant qu'à redire au Coeur de mon Fils ce qui sera confié à mon Coeur et à obtenir, pour tous, des grâces de salut.
Transcripción del opúsculo «Berthe Petit et la Dévotion au Cœur
Douloureux et Immaculé de Marie», Éditions de l’Œuvre de Diffusion
Mariale (ÉMILE CANOVA), Bourg-Sainit-Maurice (Saboya) 1947. Nihil Obstat del Padre François Joseph Cuttaz, Censor diocesano, e Imprimatur por Mons. Joseph Pernoud, Vicario general de Annecy, del 9 y 10 de Julio de 1947 respectivamente.
LOS ATAQUES DE LOS HEREJES CONTRA EL SANTO SACRIFICIO DE LA MISA
El encarnizamiento con que el demonio ha tratado en todos los tiempos de atacar al Santo Sacrificio de la Misa es una prueba de cuán sagrado e importante debe ser, y al mismo tiempo, cuán terrible para él. En el decurso de los diez primeros siglos de cristianismo, cuando la Iglesia de veía combatida por innumerables herejes, nadie hubo tan osado que llegara a atacar el Augusto Sacrificio. Necesitábase para ello un gran avance en la perversidad, una audacia verdaderamente infernal. Ello no se verificó hasta el siglo XI; pero debemos hacer notar que apenas hubo Berengario de Tours proferido sus blasfemias, el mundo tembló de espanto y le gritó con indignación: “Eres piedra de escándalo de los fieles”, ya que más de cinco Concilios le habían anatematizado, hasta que, por un milagro de la misericordia divina, Berengario abjuró de sus errores y habiendo hecho penitencia por ellos falleció confesando la verdadera doctrina (1088).
Pero la simiente por él sembrada no desapareció con él, sino fructificó por desgracia algunos años más tarde en los albigenses. Esta secta diabólica declaró ilícito el matrimonio, permitió la impureza, arguyó violentamente contra la Misa privada, que así llamábase vulgarmente la Misa rezada, y llegó a tan alto grado su encono que condenaron a terribles penas a los fieles que a ella asistían; penas que no llegaban ni en mucho a las horrorosas que imponía a los sacerdotes que tenían la audacia de celebrar los sagrados misterios.
A más de los albigenses, los enemigos más encarnizados que ha tenido la Misa han sido indudablemente los reformadores del siglo décimo sexto (XVI), ya que el propio Lutero confiesa el hecho de haber sido inspirado por Satán para abolir la Santa Misa, como acto de idolatría y que había obrado de tal suerte no ignorando que el diablo aborrecía todo lo bueno; más aún, que sus enseñanzas eran todas falsas. Si la inteligencia de Lutero no hubiese sido ofuscada por completo por los espíritus infernales, habría a lo menos raciocinado de esta suerte: Satanás pretende que la Santa Misa es un acto de idolatría: si esto fuese así, ¿porqué quiere abolirla cuando en alabarla y fomentarla daría con el medio de insultar más despiadadamente al Altísimo?
Ahora bien; Satán ha privado del Santo Sacrificio de la Misa a todas las sectas luteranas, causándoles con ello el perjuicio más funesto y les ha imbuido de tal manera su propio odio contra este santo misterio que han llegado a proferir la terrible blasfemia de que “la Misa es una abominable idolatría”, como se lee en el catecismo de los calvinistas de Heidelberg.
¡Pobres insentatos! ¿Cómo pueden admitir, entonces que se haya salvado una sola alma desde Jesucristo? Todos los apóstoles y los sacerdotes, todos, han celebrado el Santo Sacrificio de la Misa: los mártires y los confesores han asistido a ella con ejemplar devoción; ¿acusarán acaso de idolatría a todo ese ejército de Cristo haciéndole, por consiguiente, digno del infierno? La razón natural se resiste a suponerlo.
Pero la simiente por él sembrada no desapareció con él, sino fructificó por desgracia algunos años más tarde en los albigenses. Esta secta diabólica declaró ilícito el matrimonio, permitió la impureza, arguyó violentamente contra la Misa privada, que así llamábase vulgarmente la Misa rezada, y llegó a tan alto grado su encono que condenaron a terribles penas a los fieles que a ella asistían; penas que no llegaban ni en mucho a las horrorosas que imponía a los sacerdotes que tenían la audacia de celebrar los sagrados misterios.
A más de los albigenses, los enemigos más encarnizados que ha tenido la Misa han sido indudablemente los reformadores del siglo décimo sexto (XVI), ya que el propio Lutero confiesa el hecho de haber sido inspirado por Satán para abolir la Santa Misa, como acto de idolatría y que había obrado de tal suerte no ignorando que el diablo aborrecía todo lo bueno; más aún, que sus enseñanzas eran todas falsas. Si la inteligencia de Lutero no hubiese sido ofuscada por completo por los espíritus infernales, habría a lo menos raciocinado de esta suerte: Satanás pretende que la Santa Misa es un acto de idolatría: si esto fuese así, ¿porqué quiere abolirla cuando en alabarla y fomentarla daría con el medio de insultar más despiadadamente al Altísimo?
Ahora bien; Satán ha privado del Santo Sacrificio de la Misa a todas las sectas luteranas, causándoles con ello el perjuicio más funesto y les ha imbuido de tal manera su propio odio contra este santo misterio que han llegado a proferir la terrible blasfemia de que “la Misa es una abominable idolatría”, como se lee en el catecismo de los calvinistas de Heidelberg.
¡Pobres insentatos! ¿Cómo pueden admitir, entonces que se haya salvado una sola alma desde Jesucristo? Todos los apóstoles y los sacerdotes, todos, han celebrado el Santo Sacrificio de la Misa: los mártires y los confesores han asistido a ella con ejemplar devoción; ¿acusarán acaso de idolatría a todo ese ejército de Cristo haciéndole, por consiguiente, digno del infierno? La razón natural se resiste a suponerlo.
¡Ah! Cuánto más consolador es escuchar a San Fulgencio cuando dice: “Creo sin la menor sombra de duda que el hijo unigénito de Dios hecho hombre por nosotros, se ha ofrecido sin cesar, en fe y en caridad, el sacrificio del pan y del vino”. Guardémonos bien de que no acontezca lo que a los herejes, a quinenes Satanás ha privado de la Santa Misa. No pudiendo arrebatárnosla enteramente se esfuerza en hacernos desconocer el valor sin fin del Santo Sacrificio para que no lo estimemos como es debido, haciéndonos negligentes a fin de que no podamos obtener los frutos abundantes de gracia que de la Misa debemos lucrar.
PADRE MARTÍN DE COCHEM OFM Cap. (en el siglo Martín Linius Geimer; *1634 - † 1712). Erklärung des heiligen Messopfers/Explicación del Santo Sacrificio de la Misa, 2.ª Ed. española (José Ciurana y Maijó, traductor). Einsielden, Suiza, Establecimiento Benzinger, 1914. Imprimátur
http://www.saintsbooks.net/books/Fr.%20Martin%20Cochem%20-%20Explanation%20of%20the%20Holy%20Sacrifice%20of%20the%20Mass.pdf
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+Jorge de la Compasión (Autor del blog)
Jorge Rondón Santos (Editor colaborador)